En 1866 la Société Centrale de Sauvetage des Naufragés prend en charge le renouvellement et l'entretien de ces matériels qui parfois , comme le SUSAN GRAY, sont des legs effectués par de généreux donateurs.
Dès le départ des régles strictes sont édictées que ce soit pour l'entretien et l'armement du canot ou pour sa mise à l'abri dans l'attente des missions qui lui sont dévolues
La maison-abri, dont l'intérieur est tenu avec cet ordre admirable qui distingue les navires de l'État, renferme les accessoires de l'embarcation.
Sur ses murs sont affichées les instructions réglementaires.
A l'extérieur, elle est entourée de bancs sur lesquels, à l'heure des loisirs, viennent s'asseoir jeunes et vieux pour deviser des choses de la mer.
Elle est devenue comme l'objet du culte et de l'orgueil de nos populations maritimes.
Elle est, aux yeux de tous, le signe permanent et tangible du beau rôle qui leur est confié.
En 1866 la Société Centrale de Sauvetage des Naufragés prend en charge le renouvellement et l'entretien des canots. La construction de ceux-ci est confiée , pour l'arrondissement maritime de Dunkerque aux chantiers Normand du Havre
La description technique littérale de ces canots est consultable ici.
Source
BNF Gallica Société Centrale de Sauvetage des Naufragés